L´utilisateur Pigeon Pige Tout (Pigeon Pige-TouT | Tout Devient Si Sensé Sans Censure (pigeonpigetout.fr)) a produit cette vidéo en relation à un commentaire réalisé ici-même sur ce blog. Il y traite en effet un aspect sur les « vaccins » que personne n´a traité, à savoir, les placebos. En effet, nous sommes tous focalisés sur les « vaccins », leurs effets secondaires, leur composition, etc, et donc, un des éléments majeurs du puzzle est passé sous le radar de tout le monde, les placebos, puisque ceux-ci sont une partie importante de l´équation. En effet, selon des insiders de l´industrie pharmaceutique dont j´ai pu écouter le témoignage sur le net espagnol, la moitié des « vaccins » sont des placebos, ce qui est logique, puisque dans le cadre d´une expérience, car nous sommes utilisés comme cobayes dans une expérience mondiale visant à tester des thérapies géniques, il faut un groupe témoin. Dans le cadre médical, l´expérimentation se déroule en double aveugle, car ni le médecin qui injecte ni le patient qui reçoit la dose ne savent s´il s´agit d´un placebo ou du véritable produit: seul le labo qui produit la mixture expérimentale le sait, grâce au numéro de série des lots, ce qui veut sire que seuls quelques personnes dnas la boîte sont au courant des numérotations qui indiquent si le produit est ou non un placebo. De la sorte, les employés ignorent si le produit injecté par les fioles dans la chaîne de montage est le produit ou le placebo, et de fait, comme cet information est réservée à très peu de personnes, cela permet de garder une opacité totale sur le sujet.
Par ailleurs, le fait que la moitié des fioles soient des placebos invitent donc à l´optimisme, puisque cela voudrai dire que seul la moitié des injectés subiront les conséquences de l´inoculation, qu´elle qu´elle soit d´ailleurs, des caillots de sang, des problèmes neurologiques, la mort… Potentiellement, on peut imaginer qu´ils ont bien fait les choses, et que les « vaccinés » ont été injectés les deux fois avec soit un placebo, soit le produit, il suffit pour ce faire d´envoyer dans les mêmes zones les mêmes produits en associant à chaque zone des numéros de série précis indiquant la véritable nature de l´injection. Mais comme l´expérimentation est mondiale et que les stocks sont gérés par les gouvernements, et leurs administrations, cela ne s´est donc certainement pas passé ainsi, et ont peut donc penser que parmi les « vaccinés », nombre d´entre eux ont été vaccinés soit avec deux doses du produit, soit avec une dose de placebo et une dose de produit, et que donc, le tout fait plus de gens en proportion que ceux piqués à blanc. La chose n´est pas claire, car cela implique plus de gens au courant de quels sont les produits et quels sont les placebos, ce qui implique augmenter le risque de fuites ou de révélations, dans le cadre du secret lié au plan de génocide mondial via la « vaccination ». Pourtant on se doute que les élites, les célébrités, en tout cas celles qui ont les bons contacts, pour ainsi dire, on été « vaccinés » au placebo, ce qui est évident, ce qui implique que plus de gens savent donc quels fioles correspondent aux produit et au placebo.
L´idée développée par Pigeon qui nous explique que le placebo, dans un contexte génocidaire, sert à échelonner et donc à diluer les morts dans le temps, de sorte a les dissimuler, est logique, cohérente, et à mon sens, absolument correcte. Ce qui explique aussi le nombre doses, lié à soit disant une perte d´immunité: en effet, nombre des vaccins offrent une immunité à vie, en tout cas selon l´industrie pharmaceutique. Or, on se rends compte, notamment en observant les données d´Israël ou d´Angleterre, que l´ »immunité » disparaît au bout de quelques mois, huit d´après les dernières données officielles, ce qui est cohérent dans le cadre du Passe Sanitaire, puisque celui-ci sera donc sujet à être renouvelé constamment, dans un contexte de société totalitaire de contrôle numérique dans laquelle le citoyen doit renouveler constamment son allégeance au système via l´acte symbolique d´une vaccination régulière. Dans ce cadre aussi, les placebos prennent tout leur sens, notamment pour protéger les éléments utiles au système, tels que les leaders d´opinion, les journalistes, les dirigeants politiques, les banquiers, etc. Du coup, plus il y a de doses, et plus le vaccin de la mort devient aléatoire, contribuant de la sorte a effacer les traces et à créer un écran de fumée pour éviter que l´on puisse relier trop facilement les morts en « vaccins », et donc les attribuer à une nouvelle maladie, tel que le syndrome PIMS apparu récemment de façon tout à fait opportune… Dans un contexte eugéniste, la multiplication des doses permet aussi de tuer plus de monde mais l´élément aléatoire que j´ai décris introduit un élément de « moralité », puisque les individus sacrifiés pour le « bien de la planète » sont choisis au hasard, et ne sont pas ciblés ethniquement, par genre, par classe sociale, etc. Il y a là comme un effet de plague biblique et naturelle qui aux yeux des comploteurs eugénistes les dédouanent de leurs actions, ce qui explique pourquoi il existe un espace très succinct pour les lanceurs d´alertes tels que ce blog, Coronafolie, car ainsi, ils ne pourront pas dire que la vérité était cachée aux masses, qu´ils ne savaient pas, ou qu´ils n´avaient qu´a mieux s´informer: ce n´est pas le cynisme qui manque a ces assassins.
Le but des placebos est en outre de créer de la confiance entre les candidats à la « vaccination », puisque si vos proches qui se sont fait injecté tombent comme des mouches, cela révélerait le pot-au-rose. Par ailleurs, le fait que ce génocide est réalisé via un « vaccin » est tout à fait cohérent, puisque d´une part les vaccins ont bonne presse auprès du public désinformé, qui est l´immense majorité de la population, et d´autre part, les décès et les effets secondaires s´étalent sur des années, voir une décennie, ce qui permet d´échelonner dans le temps les morts et de brouiller les pistes. Il n´est pas anodin que l´on vous surveille pendant trente minutes après l´injection, et que le temps officiel lié aux possibles effets secondaires soit de quinze jour. D´abord, le fait de vous surveiller 30 minutes après l´inoculation a pour but de vous rassurer, en vous faisant croire que le système tient à vous et se préoccupe de votre santé, mais surtout, c´est le temps requis pour que la mixture expérimentale passe du muscle au système sanguin et commence à circuler dans votre corps. En d´autre termes, c´est surtout pour vous empêcher de vous enlever cette soupe chimique dès que l´injection est réalisée, en sortant rapidement du centre et en utilisant un extracteur à venin de serpent, qui vous enlèverai une bonne part ou toute quantité de la soupe chimique que l´on vient de vous inoculer. D´autre part, le temps de quinze jours est surtout destiné à la population générales, c´est une barrière psychologique destinée au public lambda et ignorant des vaccins, lui faisant ainsi croire que si rien ne s´est produit durant ces quinze jours, il est bon, rien ne peut plus lui arriver. Or les effets peuvent se produire des mois voir des années après, mais évidemment, il est alors beaucoup plus difficile d´établir une relation cause à effet, par exemple dix ans après: c´est déjà la tactique utilisée par Big Pharma pour les vrais vaccins.
Enfin, de nombreux rapports établissent que beaucoup de gens vaccinés, tout du moins pour un temps, ne se sont jamais sentis aussi bien de leur vie: un ami me faisait remarquer cela ce week-end et me suggérai que les placebos pouvait contenir par ailleurs des substances euphorisantes ou anabolisantes, ce qui en fait créerait un effet bénéfique en relation à la propagande gouvernementale pour aller se faire injecter, puisque les inoculés diraient à leur proches d´y aller, de se faire « vacciner », qu´ils ne se sont jamais sentit aussi bien de leur vie, que les « vaccins » sont sans danger et qu´ils les ont même améliorés. Pour en finir avec ce sujet, je pense aussi qu´il est possible que les placebos ne contiennent pas du sérum physiologique mais du graphène à 99% et que le véritable produit, lui, contienne de l´ARNm + du graphène. Cela expliquerai pourquoi le flacon Pfizer analysé par la Quinta Columna ne contenait que du graphène et 1% d´ARNm, rappelons que seul un flacon a été analysé par l´Université d´Alméria, et donc que deux stratégies distincte de dépopulation seraient en marche: d´une part celle liée à l´ARNm et la protéine Spike, conçue pour être mortelle à 100%, d´autre part celle lié au graphène, que le corps semble éliminer au bout de trois mois naturellement, selon Ricardo Delgado de la Quinta Columna, mais qui pourrit votre sang et donc vous rends malade à long terme, ce qui est aussi tout bénef pour Big Pharma. En outre, chaque injection de graphène corromps chaque fois plus votre sang, et vous rapproche donc de la mort, selon un article que j´ai publié ici récemment, et donc, si chaque inoculation vous enlève deux ans de vie par rapport à la limite de temps créée par la première injection (la première est sensée vous tuer au bout de huit ans), et bien vous mourrez après 4 inoculations, et donc cela brouillera encore plus les pistes, puisqu´ils diront que si c´était à cause du vaccin vous seriez mort dès la première dose, pas la quatrième…
21 août 2021 à 17 h 18 min
Bonjour Coronafolie,
Connaissant votre réactivité, vous l’avez sans doute déjà vue, mais dans le doute je vous poste quand même cette information sur les placebos : https://odysee.com/@vivreautrement:6/%F0%9F%94%B4WOW-!!!-Une-infirmi%C3%A8re-slovaque-affirme-que-30–des-doses-vaccinales-sont-des-placebos-!!!-Et-qu’il-est-possible-de-le-savoir-en-observant-le-num%C3%A9ro-sur-le-document-avec-le-QR-CODE-%F0%9F%91%89-01-%F0%9F%A7%90:8?
Bonne soirée !
21 août 2021 à 17 h 19 min
Mince, le lien est mal sorti :
https://odysee.com/@vivreautrement:6/%F0%9F%94%B4WOW-!!!-Une-infirmi%C3%A8re-slovaque-affirme-que-30–des-doses-vaccinales-sont-des-placebos-!!!-Et-qu’il-est-possible-de-le-savoir-en-observant-le-num%C3%A9ro-sur-le-document-avec-le-QR-CODE-%F0%9F%91%89-01-%F0%9F%A7%90:8?
21 août 2021 à 17 h 20 min
Bon bah flûte, je crois qu’il faudra le copier-coller dans son intégralité ^^
4 août 2021 à 11 h 55 min
J’avais au départ un peu de mal avec votre thèse sur le placebo qui serait rempli de graphène. Mais si effectivement celui-ci peut étaler la mort sur 8 années comme l’indique votre autre article et que chaque nouvelle injection réduit cette durée de vie maximale d’encore 2 ans, cela commencerait à prendre du sens. D’autant plus que – et je crois que cela réagit à l’un des autres éléments de votre article – les célébrités (au moins certaines) ont clairement simulé leur injection. Ce qui me pose un constat et 3 hypothèses pour l’expliquer :
- le constat, c’est que ces célébrités complices ne veulent évidemment pas se faire injecter, si elles en arrivent au stade de payer des figurants ridicules qui ne savent même pas comment piquer et qui en plus ne piquent même pas (en laissant le bouchon sur le bout de la seringue/en utilisant des aiguilles rétractables/en oubliant même de faire semblant de pousser le liquide de la seringue dans le bras de la célébrité).
Et si ces célébrités sont prêtes à une mise en scène aussi ridicule et révélatrice pour éviter à tout prix une vraie piqûre, c’est :
- soit parce qu’elles n’ont pas la possibilité de savoir quelle dose est un placebo et qu’elles ne veulent surtout pas tomber sur le poison. Ce qui est déjà suffisamment inquiétant.
- soit parce qu’elles pourraient avoir un placebo, mais qu’elles savent qu’il est aussi dangereux. Ce qui serait bien sûr encore plus inquiétant.
- soit pour se foutre littéralement de notre gueule, ce qui est tout aussi probable.
Aussi, si le graphène permet de créer une vraie interface homme-machine et un vrai contrôle de l’injecté comme les travaux de José Delgado – au minimum – le laissait déjà largement entendre, ils auraient du coup aussi bien la possibilité de tuer sur commande le nombre de personnes qu’il faudra pour justifier un narratif inquiétant que la possibilité à l’inverse d’égayer l’humeur d’une population pour en matérialiser un autre plus positif. D’ailleurs, je crois me souvenir que les nanobots avaient aussi cette capacité à libérer dans le corps des traitements pour guérir des maladies et que c’était justement comme ça qu’ils en faisaient la pub sur le plan médical. Alors pourquoi ne pas libérer par leur intermédiaire des substances hallucinogènes, apaisantes, anesthésiante ou euphorisante tandis que le corps de l’injecté serait en réalité en train de pourrir inévitablement à cause du graphène. Et peut-être même que le graphène pourrait déjà servir à envoyer ce type d’informations à l’injecté par l’interface homme-machine qu’il pourrait déjà permettre tout seul.