Cela fait longtemps maintenant que réfléchis à ce problème, à cet offensive des globalistes pour s´approprier des enfants, outrepasser l´autorité parentale, et même, la réduire à néant: les enfants appartiennent à l´État est la nouvelle doctrine mondialiste, que certains politiciens et juges (entre autres) essayent déjà d´implémenter subrepticement dès que l´occasion se présente. La dernière offensive en la matière est le fait que maintenant vos enfants peuvent se faire vacciner sans accord parental, par exemple, en France et dans certains endroits du Canada:
Un projet de loi permet aux enfants de 11 ans de prendre
des décisions médicales sans en parler à leurs parents

Le district de Columbia pense que les enfants de 11 ans à peine devraient être vaccinés sans le consentement de leurs parents, et le district a adopté une loi pour faire de cette croyance une réalité. Si le projet de loi n’est pas bloqué par le Congrès, d’autres États pourraient bientôt suivre l’exemple du district.
La Home School Legal Defense Association ne prend pas position sur la question de savoir si les enfants doivent être vaccinés ou non. Nous pensons simplement que les parents devraient avoir le droit de prendre cette décision pour leur famille, tout comme les parents devraient avoir le droit de diriger l’éducation de leurs enfants.
Juste avant Noël, le Conseil de la DC a adopté la loi 23-171. Le projet de loi stipule qu’ »un mineur, âgé de onze ans ou plus, peut consentir à recevoir un vaccin lorsqu’il est capable de répondre à la norme de consentement éclairé et que le vaccin est recommandé par le Comité consultatif des pratiques d’immunisation des États-Unis (ACIP). ”
Oui, des enfants de 11 ans. La plupart des enfants de cet âge ne font pas de recherches approfondies sur les utilisations et les effets des vaccins. La plupart ne connaissent pas leurs propres antécédents médicaux, et encore moins ceux de leur famille. Mais le Conseil de la DC veut leur permettre de recevoir une vaccination sans l’intervention d’un tuteur.
Qui devrait décider
Bien que le projet de loi stipule que l’enfant doit répondre à la « norme du consentement éclairé », il ne précise nulle part qui détermine si un enfant répond effectivement à cette norme. Ce devrait être les parents. Ce ne sera pas le cas pour les enfants vaccinés dans un environnement sans parents (par exemple, les écoles publiques).
Bien qu’il soit apparemment motivé par le désir de permettre à un plus grand nombre d’étudiants d’avoir accès aux vaccins, le projet de loi sur les DC élimine complètement les parents de l’équation. Il interdit également au prestataire médical qui administre le vaccin de consigner celui-ci dans le dossier médical normal de l’enfant, empêchant ainsi le médecin de famille de savoir que la vaccination a eu lieu.
Au lieu de cela, le projet de loi exige que le fournisseur de soins soumette les documents de vaccination directement à l’école de l’enfant. Et au cas où cela ne serait pas assez radical, le projet de loi interdit explicitement à l’école de fournir ces informations aux parents de l’enfant.
L’objectif du projet de loi est d’écarter les parents et de les empêcher, ainsi que leur propre médecin de famille, de savoir qu’une décision susceptible de changer la vie de leur enfant a été prise pendant la journée scolaire. Il ne s’agit pas de ce qui est bon pour les enfants. Il s’agit de fonctionnaires qui enlèvent le pouvoir aux familles.
Mais qu’en est-il des enfants qui ne fréquentent pas l’école physique, comme les élèves de l’école à domicile ? Ce projet de loi les concernerait également. Si un enfant se rend au cabinet d’un médecin, celui-ci pourrait lui administrer un vaccin s’il détermine que l’enfant répond à la norme du consentement éclairé.
Ce que vous pouvez faire
Heureusement, ce n’est que le début du combat. Comme le District de Columbia n’est pas un État, chaque projet de loi adopté par le Conseil du DC doit être soumis au Congrès pour une période d’examen de 30 jours législatifs. Pendant cette période, le Congrès peut introduire une résolution commune de désapprobation contre tout projet de loi du DC qu’il ne souhaite pas voir adopté. Si le président Biden signe cette résolution pendant la période d’examen, le projet de loi du DC échoue.
Le représentant Michael Cloud (TX) et le sénateur Mike Lee (UT) ont introduit des résolutions dans leurs chambres respectives à cet effet, SJ Res 7 et HJ Res 25. Le Congrès a reçu le projet de loi du Conseil de la DC le 2 février, de sorte que le délai de 30 jours est maintenant écoulé.
Il faudra un effort bipartite pour faire passer ces résolutions, mais les droits parentaux ne sont pas une question partisane. Chaque parent devrait être autorisé à participer à des décisions médicales aussi monumentales pour ses enfants. Chaque membre du Congrès qui est ou veut être parent devrait souhaiter que ce projet de loi soit annulé. Chaque parent devrait avoir le droit d’être impliqué dans la vie de ses enfants, mais le Conseil de la DC ne le voit pas de cette façon – ils pensent que les bureaucrates du gouvernement peuvent élever vos enfants mieux que vous ne le pouvez.
Si DC parvient à faire adopter cette loi, d’autres États pourraient lui emboîter le pas. Plusieurs États ont déjà introduit une législation similaire, mais ces projets de loi n’ont pas encore été adoptés. Pour éviter que ce précédent ne s’étende, contactez votre représentant et les sénateurs et demandez-leur de parrainer ces mesures.
Mais en fait l´offensive vient de loin, et elle s´inscrit dans la ligne droite de la destruction de la famille tant désirée par les mondialistes, destruction qui s´inscrit dans la destruction des Peuples, de leurs identités, des Nations.
« Les enfants appartiennent à la République avant d’appartenir à leurs parents »
Louis-Michel Lepeletier, marquis de Saint-Fargeau est issu d’une illustre famille de parlementaires. Il est arrière-petit-fils de Michel Robert Le Peletier des Forts, comte de Saint-Fargeau, fils de Michel-Étienne Le Peletier de Saint-Fargeau (1736-1778) et de Suzanne-Louise Le Peletier de Beaupré (morte le 20 février 1762 à l’âge de 28 ans
Le 20 janvier 1793, il sera assassiné par un ancien garde du corps de Louis XVI après que Lepeletier ait voté la mort du roi.
Le plan d’éducation élaboré par Michel Lepeletier, présenté par Robespierre le 13 juillet 1793 (le jour même où Marat fut assassiné) fut voté le 13 août 1793 par les députés de la Convention, mais ne fut pas exécuté. Nombre de ses idées se retrouveront bien plus tard, au XIXe siècle, dans la pensée de Jules Ferry.
Extraits de ce fameux plan qui marquera la pensée de la gauche éducatrice :
« [...] D’abord, je remarque avec peine que jusqu’à six ans l’enfant échappe à la vigilance du législateur, et que cette portion importante de la vie reste abandonnée aux préjugés subsistants et à la merci des vieilles erreurs.
À six ans, la loi commence à exercer son influence : mais cette influence n’est que partielle, momentanée ; et par la nature même des choses, elle ne peut agir que sur le moindre nombre des individus qui composent la nation.
[...]
À douze, le pli est donné et l’impression des habitudes est gravée d’une manière durable.
[...]
Ici s’élève une question bien importante.
L’institution publique des enfants sera-t-elle d’obligation pour les parents, ou les parents auront-ils seulement la faculté de profiter de ce bienfait national ?
D’après les principes, tous doivent y être obligés.
Pour l’intérêt public, tous doivent y être obligés.
Dans peu d’années, tous doivent y être obligésMais dans le moment actuel, il vous semblera peut-être convenable d’accoutumer insensiblement les esprits à la pureté des maximes de notre nouvelle constitution. Je ne vous le propose qu’à regret ; je soumets à votre sagesse une modification que mon désir intime est que vous ne jugiez pas nécessaire. Elle consiste à décréter que d’ici à quatre ans l’institution publique ne sera que facultative pour les parents. Mais ce délai expire, lorsque nous aurons acquis, si je peux m’exprimer ainsi, la force et la maturité républicaines, je demande que quiconque refusera ses enfants à l’institution commune soit privé de l’exercice des droits de citoyen pendant tout le temps qu’il se sera soustrait à remplir ce devoir civique, et qu’il paye, en outre, double contribution dans la taxe des enfants, dont je vous parlerai dans la suite.
[...]
N’oublions pas quel est l’objet de cette première éducation commune à tous, égale pour tous. Nous voulons donner aux enfants les aptitudes physiques et morales qu’il importe à tous de retrouver dans le cours de la vie, quelle que soit la position particulière de chacun.[...]
Nos premiers soins se porteront sur la portion physique de l’éducation.
Former un bon tempérament aux enfants, augmenter leurs forces, favoriser leur croissance, développer en eux vigueur, adresse, agilité ; les endurcir contre la fatigue, les intempéries des saisons, la privation momentanée des premiers besoins de la vie : voilà le but auquel nous devons tendre ; telles sont les habitudes heureuses que nous devons créer en eux ; tels sont les avantages physiques qui, pour tous en général, sont un bien précieux.
Les moyens pour remplir cet objet seront faciles dans le système de l’institution publique. Ce qui serait impraticable pour des enfants envoyés à l’école deux heures par jour, quelquefois deux heures seulement par semaine, et tout le reste du temps hors de la dépendance d’une commune discipline, se réalise ici sans effort.
Continuellement sous l’œil et dans la main d’une active surveillance, chaque heure sera marquée pour le sommeil, le repas, le travail, l’exercice, le délassement ; tout le régime de vie sera invariablement réglé ; les épreuves graduelles et successives seront déterminées ; les genres de travaux du corps seront désignés ; les exercices de gymnastique seront indiqués ; un règlement salutaire et uniforme prescrira tous ces détails, et une exécution constante et facile en assurera les bons effets.
Je désire que pour les besoins ordinaires de la vie, les enfants, privés de toute espèce de superfluité, soient restreints à l’absolu nécessaire.
Ils seront couchés durement, leur nourriture sera saine, mais frugale ; leur vêlement commode, mais grossier.
ll importe que, pour tous, l’habitude de l’enfance soit telle, qu’aucun n’ait à souffrir du passage de l’institution aux divers états de la société. L’enfant qui rentrera dans le sein d’une famille pauvre retrouvera toujours ce qu’il quitte ; il aura été accoutumé à vivre de peu, il n’aura pas changé d’existence : quant à l’enfant du riche, d’autres habitudes plus douces l’attendent, mais celles-là se contractent facilement. Et pour le riche lui-même, il peut exister dans la vie telles circonstances où il bénira l’âpre austérité et la salutaire rudesse de l’éducation de ses premiers ans.
Après la force et la santé, il est un bien que l’institution publique doit à tous, parce que pour tous il est d’un avantage inestimable, je veux dire l’accoutumance au travail.
Je ne parle point ici de telle ou telle industrie particulière, mais j’entends en général ce courage pour entreprendre une tâche pénible, cette action en l’exécutant, cette constance à la suivre, cette persévérance jusqu’à ce qu’elle soit achevée, qui caractérise l’homme laborieux.
Formez de tels hommes, et la République, composée bientôt de ces robustes éléments, verra doubler dans son sein les produits de l’agriculture et de l’industrie.
Formez de tels hommes, et vous verrez disparaître presque tous les crimes. Formez de tels hommes, et l’aspect hideux de la misère n’affligera plus vos regards. Créez dans vos jeunes élèves ce goût, ce besoin, cette habitude de travail, leur existence est assurée, ils ne dépendent plus que d’eux-mêmes.
J’ai regardé cette partie de l’éducation comme une des plus importantes. Dans l’emploi de la journée, tout le reste sera accessoire, le travail des mains sera la principale occupation. Un petit nombre d’heures en sera distrait ; tous les ressorts qui meuvent les hommes seront dirigés pour activer l’ardeur de notre laborieuse jeunesse.
Les pères de famille, les élèves, les maîtres, tous, par la loi que je vous propose, seront intéressés à produire dans les ateliers des enfants la masse la plus considérable de travail qu’il sera possible ; tous y seront excités par leur propre avantage.
Les uns, parce qu’ils y trouveront la diminution de la charge commune ; les autres, parce qu’ils y verront l’espérance d’être honorés et récompensés ; les enfants enfin, parce que le travail sera pour eux la source de quelques douceurs toujours proportionnées à la tâche qu’ils auront remplie.
ll est une foule d’emplois laborieux dont les enfants sont susceptibles.
Je propose que tous soient exercés à travailler à la terre : c’est la première, c’est la plus nécessaire, c’est la plus générale occupation de l’homme, partout d’ailleurs elle offre du pain.
On peut encore leur faire ramasser et répandre les matériaux sur les routes ; les localités, les saisons, les manufactures voisines de la maison d’institution offriront des ressources particulières. Enfin, un parti plus général ne serait peut-être pas impraticable.
Je vomirais qu’on établit dans les maisons mêmes d’institution divers genres de travaux auxquels tous les enfants sont propres, et qui, distribués et répartis dans tous ces établissements, grossiraient sensiblement pour la République la masse annuelle des productions manufacturées.
J’appelle sur cette vue importante d’économie politique l’attention et le génie des citoyens intelligents dans les arts. J’offre un programme à remplir sur cet objet, et je demande que la nation promette une honorable récompense pour tous ceux qui indiqueront un genre d’industrie facile qui soit propre à remplir la destination que je vous propose.
Régler sa vie, se plier au joug d’une exacte discipline sont encore deux habitudes importantes au bonheur de l’être social. Elles ne peuvent se prendre que dans l’enfance ; acquises à cet âge, elles deviennent une seconde nature.
On calculerait difficilement à quel point une vie réglée et bien ordonnée multiplie l’existence, moralise les actions de l’homme, fait entrer dans sa conduite tout ce qui est bien, et la remplit tellement d’actes utiles, qu’il n’y reste plus de place, si je puis parler ainsi, pour tout ce qui est vice ou désordre.
Je n’attache pas un moindre prix à l’habitude d’une austère discipline. Souvenons-nous que nous élevons des hommes destinés à jouir de la liberté, et qu’il n’existe pas de liberté sans obéissance aux lois. Ployés tous les jours et à tous les instants sous le joug d’une règle exacte, les élèves de la patrie se trouveront tous formés à la sainte dépendance des lois et des autorités légitimes. Voyez ce jeune soldat avant qu’il ne s’engage, et retrouvez-le après qu’il a servi quelque temps : ce n’est plus le même homme ; ce changement est pourtant l’ouvrage de quelques mois de discipline militaire.
Combien ce moyen ne sera-t-il pas plus efficace, étant dirigé sur les organes souples et flexibles de l’enfance, modifié avec philosophie et mis en œuvre avec habileté et intelligence.
Sans l’éducation commune et nationale, il est également impossible de créer les deux habitudes importantes que je viens de développer. Deux heures d’école ébaucheraient à peine l’ouvrage ; l’indépendance du reste du jour en effacerait jusqu’à la trace. Sans l’éducation nationale, il vous faut aussi renoncer à former ce que j’appelle les mœurs de l’enfant, qui bientôt, par ce plan, vont devenir les mœurs nationales ; et par là je veux dire la sociabilité ; son caractère, un langage qui ne soit point grossier, l’attitude et le port d’un homme libre, enfin des manières franches, également distantes de la politesse et de la rusticité. Entre citoyens égaux d’une même République, il faut que ces divers avantages de l’éducation soient répartis à tous : car on a beau dire, ces nuances, lorsqu’elles existent, créent d’incalculables différences et établissent de trop réelles inégalités entre les hommes.
Je ne sais si je m’abuse, mais il me semble que toutes les habitudes dont j’ai présenté jusqu’ici l’énumération sont une source féconde d’avantages pour les enfants et pour l’État ; ce sont les vrais fondements d’une salutaire éducation ; sans elles il n’existe pas d’éducation. Si, dans l’enfance, nous ne les donnons point à tous les citoyens, la nation ne peut pas être profondément régénérée.
[...]
Quelles sont les notions, quelles sont les connaissances que nous devons à nos élèves ? Toujours celles qui leur sont nécessaires pour l’état de citoyen, et dont l’utilité est commune à toutes les professions.
J’adopte entièrement, pour l’institution publique, la nomenclature que le Comité vous a présentée pour le cours des écoles primaires, apprendre à lire, écrire, compter, mesurer, recevoir des principes de morale, une connaissance sommaire de la constitution, des notions d’économie domestique et rurale, développer le don de la mémoire en y gravant les plus beaux récits de l’histoire des peuples libres et de la Révolution française ; voilà le nécessaire pour chaque citoyen ; voilà l’instruction qui est due à tous.
[...]
C’est d’après le principe que l’enfance est destinée à recevoir l’impression salutaire de l’habitude, que je voudrais qu’à cet âge il ne soit point parlé de religion, précisément parce que je n’aime point dans l’homme ce qu’il a toujours eu jusqu’à présent, une religion d’habitude.
Je regarde ce choix important comme devant être l’acte le plus réfléchi de la raison. Je désirerais que, pendant le cours entier de l’institution publique, l’enfant ne reçût que les instructions de la morale universelle, et non les enseignements d’aucune croyance particulière.
Je désirerais que ce ne fût qu’à douze ans, lorsqu’il sera rentré dans la société, qu’il adoptât un culte avec réflexion. ll me semble qu’il ne devrait choisir que lorsqu’il pourrait juger.
Cependant, d’après la disposition actuelle des esprits, surtout dans les campagnes, peut-être pourriez-vous craindre de porter le mécontentement et le scandale même au milieu de familles simples et innocentes, si les parents voyaient leurs enfants séparés jusqu’à douze ans des pratiques extérieures de tout culte religieux. Je soumets cette difficulté de circonstances à la sagesse de vos réflexions ; mais j’insiste, dans tous les cas, pour que cette partie d’enseignement n’entre point dans le cours de l’éducation nationale, ne soit point confiée aux instituteurs nationaux, et qu’il soit seulement permis (si vous jugez cette condescendance nécessaire) de conduire à certains jours et à certaines heures les enfants au temple le plus voisin, pour y apprendre et y pratiquer la religion à laquelle ils auront été voués par leurs familles.
Telles sont les bornes dans lesquelles se renferme le plan de l’institution publique.
Je peux le résumer en deux mots.
Donner à tous les habitudes physiques et les habitudes morales, les instructions et les connaissances qui, étant acquises dans l’enfance, influent sur tout le reste de la vie, qu’il importe à tous d’acquérir, qui ont une commune utilité pour tous, à quelque profession qu’ils se destinent, et qui doivent produire une masse sensible d’avantages pour la société, lorsqu’elle en aura également pourvu tous les membres qui sont destinés à la composer. [...]
»
Robespierre prononce ainsi le 18 floréal an II (mai 1794), Arch. parlem., 1/82/138/2, cette phrase :
« La patrie a seule le droit d’élever ses enfants ; elle ne peut confier ce dépôt à l’orgueil des familles ni aux préjugés des particuliers. »
« Mon fils ne m’appartient pas, il est à la République »
« les enfants appartiennent à la République avant d’appartenir à leurs parents »
« les enfants appartiennent à la famille générale, à la République, avant d’appartenir aux familles particulières » (source ici aussi)
« Au moyen de l’instruction commune, vous déjouez toutes les passions funestes au bien public, vous dérobez le cœur des enfants à l’aristocratie des parents, à leur orgueil, à leur fanatisme. »
Voir aussi
Le Devoir de Montréal : « L’école n’est pas au service des parents. »
ECR — Nos enfants n’appartiennent pas à l’État
Marie Geiss-Galimard : « Pour les Allemands, les enfants sont la propriété de l’État »
Le cours ECR « pour former des citoyens complets » (les parents privés du cours étant incomplets ?)
Ce qui précède explique donc ce qui suit:
L’école à la maison, c’est fini
Par Francesca de Villasmundo
La consultation sur le passe sanitaire, – et adoption finale -, à vitesse grand V dans une Assemblée nationale et un Sénat aux ordres, a occulté l’adoption d’une autre loi inique, liberticide : celle qui met fin à l’instruction à domicile. Pourtant, le 23 juillet dernier, les scellées ont été posées sur le cercueil de l’école à la maison. Et les Français ont perdu une autre de leur liberté : celle concernant leur choix éducatif pour leurs enfants.
Dans un communiqué, la Fondation pour l’école revient sur cette interdiction qui s’est faite « au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions » :
« Lors de son vote du 23 juillet 2021, l’Assemblée nationale a définitivement adopté la loi confortant le respect des principes de la République.
Cette adoption a pour conséquence la suppression du régime déclaratif de l’instruction en famille (IEF) institué depuis fort longtemps et pourtant garanti par la Déclaration universelle des droits de l’homme[1].
Il est dorénavant remplacé par un régime d’autorisation préalable, soumis à des conditions aussi strictes que subjectives, privant de facto 62 398 enfants[2] d’un mode d’instruction parfaitement légal et régulièrement contrôlé par les services de l’État.
Comme elle l’avait annoncé précédemment, la Fondation ne peut se résoudre à la suppression d’une telle liberté fondamentale, et entamera donc lundi 26 juillet une procédure dite de « la porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel.
Rappelons que cette adoption du 23 juillet s’est faite au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions. Ainsi :
un premier avis du Conseil d’État sur cette loi, modifié in extremis sur pression du gouvernement[3], s’est prononcé en nette défaveur de la suppression de l’IEF en décembre 2020 ;
la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), après avoir auditionné la Fondation pour l’école, at rendu un avis défavorable le 28 janvier 2021[4] sur le projet de loi ;
le Sénat, où la Fondation a également été auditionnée, a supprimé l’interdiction de l’IEF lors de son examen du 19 mars 2021[5] et a fait part de ses plus vives inquiétudes sur la dimension liberticide d’une telle loi ;
les travaux de la Commission mixte paritaire n’ont, par la suite, pas abouti ;
le Sénat avait ensuite renouvelé ses inquiétudes devant la volonté manifeste des députés d’un passage en force, et leur refus réitéré de tenir compte des dispositifs alternatifs proposés[6].
Rappelons également que :
l’étude d’impact du projet de loi remis par le Gouvernement n’a fourni aucun chiffre permettant de démontrer les dérives séparatistes massives prétendument issues de l’IEF ;
la Direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO) a refusé de rendre publics et de communiquer à l’Assemblée deux rapports émis sur le sujet, obligeant ainsi les députés à voter « dans le noir »[7].
Ainsi, l’Assemblée nationale aura méprisé tous les avis rendus par les différentes institutions républicaines… au nom du respect des principes de la République : l’ironie de la situation n’échappera à personne.
Face à ce déni démocratique avéré, la Fondation pour l’école, associée aux collectifs L’école est la maison[8] et Liberté éducation[9], déposera une « contribution extérieure » communément appelée « porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel, par l’intermédiaire de son avocat au Conseil d’État et à la Cour de cassation, Maître Guillaume Valdelièvre.
Cette procédure vise à rétablir l’IEF telle qu’elle était inscrite dans la loi française. Elle a également pour objectif de s’opposer aux nouveaux contrôles et sanctions visant les établissements scolaires indépendants (dits hors contrat). Face à ces attaques particulièrement graves de nos libertés fondamentales, nous attendons du Conseil constitutionnel qu’il réponde rapidement et favorablement à nos demandes en déclarant ces atteintes aux libertés d’instruction et d’enseignement comme étant contraires à la Constitution.
Il est inconcevable que la liberté de 67 millions de français soit ainsi piétinée par les dérives de quelques-uns[10]. »
L’étau visant à supprimer, petit à petit, la majeure partie de leurs libertés fondamentales, se resserre autour des Français.
La France bascule inexorablement dans un régime tyrannique à la chinoise.
Francesca de Villasmundo
[1] Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948, article 26 alinéa 3 : https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/
[2] https://www.liberteeducation.com/quelques-chiffres-sur-lecole-a-la-maison/
[4] https://www.cncdh.fr/sites/default/files/a_-_2021_-_1_-_pjl_principes_de_la_republique_janv_2021.pdf
[5] http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20210329/cult.html
[6] https://www.senat.fr/amendements/2020-2021/734/jeu_complet.html
[7] https://association-unie.fr/petition-nous-voulons-les-rapports-de-la-dgesco/
[8] https://lecoleestlamaison.blogspot.com/
[9] https://www.liberteeducation.com/
[10] Vademecum sur l’IEF de l’Éducation nationale, page 38 : « Les cas d’enfants exposés à un risque de radicalisation et repérés à l’occasion du contrôle de l’instruction au domicile familial sont exceptionnels. ». En 2019, 179 enfants suivis en CPRAF (cellule de prévention de la radicalisation et d’accompagnement des familles) pour des motifs de radicalisation étaient effectivement déscolarisés ou instruits en famille.
Ils veulent s´approprier les mômes pour les endoctriner dès leur plus jeune âge…
La même philosophie prévaut partout dans le monde chez nos élites:
France
Canada
USA: Melissa Harris Perry, présentatrice sur MSNBC
« il faut dépasser nos idées privatives selon lesquelles les enfants appartiennent à leurs parents »
Nous parlons ici d´un changement total de paradigme civilisationnel, qui s´inscrit plus dans une concrétisation du Meilleur des Mondes de Aldous Huxley, que dans une nouvelle ère de progrès pour l´Humanité. Je vous propose ici une brève enquête exclusive sur le sujet, en utilisant le covid comme prisme révélateur….
Dès le départ, les enfants ont été la cible de la propagande covidiste…
» Qu´est ce que la distanciation sociale? Un Guide pour enfants »
» « Porter un masque facial c´est amusant » Un livre pour enfants. »
» « N´oubliez pas votre masque ! » Un livre pour enfants destiné à leur expliquer le covid-19″
»Nous portons des masques »
» Mode de vie Nouvelle Normalité »
« Mon nouveau Masque »
« Soyez un super-héros ! Portez votre masque ! »
« Le masque de Lucy »
À l´école ils les conditionnent déjà dans leur futur rôle d´esclaves:
France
En Espagne, les écoliers étaient obligés d´étudier avec les fenêtres ouvertes en plein hiver, car les professeurs suivaient des directives gouvernementales qui leur sommaient d´ouvrir les fenêtres pendant les cours, mesure qui prétendait empêcher la propagation du virus…
Quelque part en Europe:
Colombie
Chine
Thaïlande
Corée du Sud
Afrique
Maintenant, ils inventent un nouveau syndrome,
le syndrome PIMS, pour s´approprier vos enfants:
Des jeunes enfermés : Images du premier camp covid en France
Voici un court documentaire venant du site La Minute de Ricardo, de l’ancien présentateur sur France Tv et TV5 Monde, Richard Boutry. Accrochez-vous, car ce que vous allez découvrir est effrayant.
Des parents ont fait part de leur inquiétude à Richard Boutry. Il est allé à proximité du premier camp covid où sont enfermés leurs enfants de 20 à 25 ans : le lycée agricole Hector Serres, 2915 Route Des Barthes, 40180 Oeyreluy. Un établissement présenté par Sud-Ouest comme offrant de « multiples possibilités »… Hector Serres, issu d’une famille dacquoise de pharmaciens, pharmacien lui-même, aurait-il été surpris d’être le prête-nom d’une prison ? C’était un pharmacien, certes, mais cet amoureux de la forêt landaise et des eaux thermales était fort loin de l’univers carcéral de Big Pharma.
Ces jeunes sont des travailleurs saisonniers dans les campings — nous n’en savons pas plus. Peut-être venaient-ils d’un camping des Landes comme celui des Prés Verts. A partir du 20 juillet, voilà la réception des vacanciers non munis de passe sanitaire :
« Vous avez le droit de séjourner sur notre terrain en emplacement traditionnel ou en location. Cependant, les personnes majeures n’auront pas le droit d’accéder à l’espace aquatique, à l’aire de jeux, aux activités collectives, au restaurant. Ainsi, nous proposons le port d’un bracelet pour identifier les clients à jour de leur pass sanitaire (majeur et mineurs pour identifier les clients ayant validé leur séjour). »
Les jeunes du camp d’isolement ont interdiction de sortir, une zone de délimitation est visible aux abords de la structure réquisitionnée par la préfecture. Cette dernière décide de la marche à suivre. La Croix-Rouge gère la structure où sont détenus les jeunes mis en quarantaine pour cas contacts ou covid. Interdiction formelle de voir leurs familles ou amis. Richard Boutry questionne une personne de la Croix-Rouge afin de connaître la durée d’enfermement :
« Est-ce qu’il y a des jeunes qui sont là depuis longtemps ? »
La réponse fait froid dans le dos : « Tout dépend. Si la personne arrive comme “cas contact” et qu’au bout d’une semaine, elle est positive au covid, elle en prend pour dix jours de plus. »
Les termes employés — « Elle en prend pour dix jours de plus » — font évidemment référence à des détenus dans une prison et sont prononcés le plus naturellement du monde.
La Croix-Rouge est chargée d’écouler le stock de lots de thérapies génétiques ARNm. On vous en parle là. Il est logique qu’elle essaie de convaincre les jeunes, car ils rechignent à se faire vacciner contre une maladie qu’ils n’auront pas. Argument massue : les clusters ! C’est la préfète des Landes qui nous annonce « Une vingtaine de clusters en cours ». Elle oublie d’ajouter d’autres chiffres (officiels) :
– décès en 24 heures : 0
– réanimations en 24 heures : 0
– nouvelles hospitalisations : 0
– taux d’occupation des lits de réanimation : 11,2 %
Ce documentaire fait froid dans le dos… et l’on comprend la révolte des familles qui ont contacté Richard Boutry pour avoir plus d’explications.
– Qu’est-ce que le covid + ?
– Pourquoi la Croix-Rouge est-elle mêlée à ce genre de choses ?
– Pourquoi les parents ont-ils interdiction de voir leurs enfants ?
– Pourquoi la préfecture organise-t-elle tout ceci ?
Des questions qui ne manqueront pas de trouver des réponses.
31 juillet 2021
Dictature Sanitaire, Fin des Libertés, Nouvel Ordre Mondial