Les non-vaccinés perdent leur droit de vote ?
Un amendement qui mérite une petite attention, et qui dit que le gouvernement ne peut pas imposer le Pass-Sanitaire pour : « exercer ses droits civiques élémentaires comme le droit de vote ».
a étonnement été rejeté.
En d’autres termes et pour le moment, les non-vaccinés sont tout bonnement interdits de droit de vote.
On dirait tout de même que la dictature se rapproche dangereusement, n’est-ce pas ?
Tout salarié pourra se faire virer s’il ne présente pas un Pass-sanitaire
Cela devait concerner les soignants, mais le gouvernement autoritaire à décider de ne pas créer de jaloux, ainsi, tout salarié français pourra se faire licencier dans les deux mois, si celui-ci ne présente pas à son employeur un Pass-sanitaire !
Ce 22 juillet 2021 est un triste jour pour la Démocratie.
A 05h30 du matin, Véran annonce un Pass-sanitaire obligatoire pour se rendre à l’hôpital
Olivier Véran demande une seconde délibération concernant l’obligation de présenter un Passe-Sanitaire à l’hôpital, mesure que les députés avaient exclu. Le gouvernement parvient cette fois à obtenir gain de cause, en revenant à la version initiale du projet de loi. Un scandale de plus.
Véran pousse à la vaccination des femmes enceintes, contredisant l’OMS
Non seul que l’OMS, Moderna vient d’annoncer qu’il n’avait pas encore étudier son vaccin sur les femmes enceintes, et qu’il allait s’y atteler.
Bien que l’OMS évoque le manque de données sur la sécurité des vaccins à ARNm administrés aux femmes enceintes, Olivier Véran exclut la grossesse, même au premier trimestre, de la liste des contre-indications à la vaccination contre le Covid-19, laquelle «fera office de loi».
Sauf les contre-indications médicales qui toucheraient quelques centaines de Français, il n’y a aucun obstacle aux vaccins à ARN messager y compris la grossesse au premier trimestre, a déclaré le 20 juillet Olivier Véran à l’Assemblée nationale. Ce alors que l’OMS et plusieurs autres institutions ne la recommandent aux femmes enceintes que sous certaines réserves.
«On ne dispose actuellement pas de données issues d’essais cliniques sur la sécurité et l’immunogénicité du vaccin pendant la grossesse», indique l’OMS dans ses recommandations provisoires sur l’utilisation des deux vaccins à ARNm (Pfizer et Moderna), mises à jour le 15 juin 2021.
Compte tenu de l’insuffisance des données des essais cliniques sur l’impact de ces médicaments sur la grossesse, la vaccination est possible en cas de bénéfices l’emportant sur les risques potentiels.
L’institution prescrit également d’informer les femmes enceintes sur les risques du Covid-19 pendant la grossesse, ainsi que sur le manque de données d’innocuité des vaccins et sur leurs avantages probables.
La Haute autorité de santé partage l’avis de l’OMS concernant les bénéfices l’emportant sur les risques. Cela concerne «les femmes enceintes de plus de 35 ans ou celles présentant d’autres comorbidités comme l’obésité, le diabète ou les maladies cardiovasculaires, ou les femmes enceintes susceptibles d’être en contact avec des personnes infectées du fait de leur activité professionnelle».
Par ailleurs, le début de la vaccination est souhaitable de la 10 à la 20e semaine d’aménorrhée (absence de règles), «c’est-à-dire après la fin de l’organogenèse et suffisamment tôt pour que la femme enceinte soit protégée au 3e trimestre», indique le CRAT (Centre de Référence sur les Agents Tératogènes), structure publique financée par l’AP-HP et ANSM.
Certains médecins prennent toujours des précautions. Bien que le Pr Alain Fischer nie le risque de se faire vacciner dès le début de la grossesse, l’hôpital de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) recommande cette mesure à partir du quatrième mois, en conformité avec les prescriptions de la Direction générale de la Santé (DGS) a indiqué auprès de 20 Minutes Joëlle Belaish Allart, cheffe du service de gynéco-obstétrique.
Les contre-indications citées par Véran
En se référant à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), au Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale et au Conseil scientifique, le ministre de la Santé a annoncé que les contre-indications aux vaccins à ARNm comprennent le syndrome PIMS, ou syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique, une complication «extrêmement rare» qui peut atteindre certains enfants et adolescents après le Covid-19.
Ensuite, il s’agit des «réactions type myocardite, péricardite et hépatite sévère ayant nécessité une hospitalisation et faisant suite à une première injection de vaccin d’ARNm» et les allergies à l’un des composants du vaccin, le PEG2000, ou polyéthylène glycol. Selon le ministre de la Santé, ces dernières ne concernent qu’une dizaine de personnes en France.
Enfin, ni la grossesse, «ni les antécédents d’allergie à un antibiotique ou une piqûre d’abeille» ne peuvent y faire obstacle, conclut le ministre.
Cette liste de contre-indications fera office de loi, a-t-il tonné.
Un Conseiller ministériel nous en dit plus sur le Pass-sanitaire
Ils ne cachent plus leur désirer de fracturer la société et discriminer les non-vaccinés au point qu’ils auront une vie infernale :
L’article est évidemment payant, donc à moins de payer les collabos du système nous ne l’aurions pas su si cela n’avait pas été pour quelques internautes vigilants.
Source Article: Un Conseiller ministériel nous en dit plus sur le Pass-sanitaire – Wikistrike
24 juillet 2021
Dictature Sanitaire, Fin des Libertés, Great Reset, Nouvel Ordre Mondial, Plandémie, Résistance