Face à la propagande qui entoure le « variant Delta », une porte de sortie des élites pour continuer à souffler sur les braises de la plandémie Covid qui commence sérieusement à s´essouffler, et qui va donc servir de base pour prendre à nouveaux des mesures coercitives et liberticides sur les populations, j´ai pensé qu´il était temps de démonter le discours alarmiste des autorités, et surtout, de rétablir la vérité au sujet de cette menace supposée. Voici donc un article, tiré du site mondialisation.ca, que j´agrémente plus bas, après celui-ci, de graphiques et statistiques officielles particulièrement révélatrices concernant l´Inde, notamment, qui est le pays d´où est partit le fameux variant et qui est supposé en souffrir le plus. Or il s´avère, comme publié précédemment sur ce blog, que l´Inde n´a vu mourir des personnes que parce que certaines de ses régions ont abandonné l´ivermectine, alors que celles qui ont maintenu le traitement ont un taux quasi zéro covid, comme expliqué ici où je relayais l´info qu´une responsable de l´OMS allait, précisément, être jugée à cause de des recommandations de ne pas utiliser l´ivermectine. Recommandations qui pourrai l´envoyer dans le couloir de la mort, ou en perpette, car celles-ci ont coûté de nombreuses vies, et au delà de ça on comprends très bien que certain veulent maintenir la « pandémie » (le « pain de mie » dirait SiBête) coûte que coûte. Surtout que l´émergence des nouveaux variants est due aux « vaccins », d´où l´insistance sur la vaccination de masse, outre les raisons que l´on connait déjà. Avant donc de procéder plus avant sur le sujet du « variant Delta », lisons l´article de mondialisation.ca:
Variant Delta : La politique de la peur est de retour
La campagne de peur est une fois de plus enclenchée, à toute vitesse.
Un nouveau confinement mondial est-il envisagé pour lutter contre le » dangereux » variant de la Covid-19 intitulé » Delta » ?
Identifié pour la première fois l’année dernière en Inde, le variant Delta du SRAS-CoV-2 a été « considéré comme le moteur de la deuxième vague mortelle d’infections cet été en Inde ».
Selon de prétendus « avis scientifiques », il se propagerait désormais dans le monde entier, dans quelque 80 pays.
Selon la BBC :
« Delta plus a également été trouvé dans neuf autres pays – États-Unis, Royaume-Uni, Portugal, Suisse, Japon, Pologne, Népal, Russie et Chine – par rapport à la souche Delta originale, hautement contagieuse, qui s’est maintenant répandue dans 80 pays. »
Selon la Maison Blanche :
« Voici la situation : La variante Delta est plus contagieuse, elle est plus mortelle et elle se propage rapidement dans le monde entier – laissant les jeunes non vaccinés plus vulnérables que jamais.
La « solution » proposée par Joe Biden est la suivante :
« S’il vous plaît, faites-vous vacciner si vous ne l’avez pas déjà fait. Éliminons cette souche avant qu’il ne soit trop tard. » (c’est nous qui soulignons)
Voici la situation : Le variant Delta est plus contagieux, plus mortel et se propage rapidement dans le monde entier, rendant les jeunes non vaccinés plus vulnérables que jamais. S’il vous plaît, faites-vous vacciner si vous ne l’avez pas encore fait. Éliminons ce variant avant qu’il ne soit trop tard.. pic.twitter.com/9gBeRpvCe8
— President Biden (@POTUS) June 24, 2021
Vers une quatrième vague ?
Les autorités de la santé au Royaume Uni affirment maintenant que les nouveaux cas du variant Delta B1.617. augmentent le risque d’hospitalisation par 2,7 fois (selon Public Health England).
Quelle est la « science » derrière cette campagne de désinformation.
En juin 2021, Public Health England (PHE) a publié un rapport intitulé « SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England, Technical Briefing 16« , qui fournit des directives sur la manière de détecter le variant Delta.
Le Technical Briefing 16 traite des diagnostics de variants effectués à la fois par séquençage du génome entier et par un test PCR de génotypage, y compris la catégorisation des résultats de variants confirmés et probables et un algorithme de décision basé sur des règles (RBDA) pour identifier les profils de variants et de mutations (VAM) à partir des profils de mutations du test de génotypage. Le génotypage est utilisé pour identifier les variants Alpha, Beta, Delta et Gamma ; les objectifs ont été mis à jour à la mi-mai 2021 pour donner la priorité à l’identification précise de Delta par rapport à Alpha.
L’affirmation ci-dessus concernant le test de génotypage PCR n’a aucun sens. Confirmé par l’OMS dans une déclaration de janvier 2021, le test PCR est totalement invalide. Voir également le dernier briefing de la PHE, daté du 25 juin 2021.
Le fameux « modèle mathématique » du confinement.
Neil Ferguson (Source : Financial Times)
Le professeur Neil Ferguson est le « conseiller » de confiance du gouvernement de Boris Johnson. Il est l’architecte du tristement célèbre « modèle mathématique » de l’Imperial College qui a été utilisé pour justifier le verrouillage et la fermeture de l’économie mondiale le 11 mars 2020, entraînant le chômage, la pauvreté et le désespoir à l’échelle mondiale.
Généreusement financées par la Fondation Bill et Melinda Gates, les estimations et prédictions de son modèle informatique de mars 2020 frisent le ridicule.
La destruction économique et sociale de la soi-disant fermeture de mars 2020 est indescriptible: 190 États membres des Nations unies ont accepté de « fermer » leur économie nationale, couplée au masque facial, à l’éloignement social et à la dérogation des droits humains fondamentaux. L’intention déclarée était de protéger les gens contre le virus V.
Le confinement du 11 mars 2020 comme moyen de contenir la prétendue pandémie est un crime contre l’humanité.
Et maintenant, le même « expert » discrédité (en consultation avec ses collègues du comité d’experts du SAGE) a conçu un nouveau « modèle mathématique » qui est utilisé pour justifier le « confinement » dans le cadre d’une quatrième vague« .
Selon les médias britanniques :
« Une nouvelle modélisation pour le comité d’experts SAGE du gouvernement [auquel Ferguson appartient] a mis en évidence le risque d’une « troisième vague substantielle » d’infections et d’hospitalisations, …..
Une source de Whitehall a déclaré qu’il était « globalement correct » que les perspectives soient désormais plus pessimistes. « Les cas sont évidemment plus nombreux et ils augmentent rapidement », a déclaré la source. (Guardian)
Selon le professeur Neil Ferguson, les simulations du « modèle » indiquent « le risque d’une recrudescence des infections et des hospitalisations ». Début juin, Ferguson a signalé « le risque d’une troisième vague substantielle«
« le variant Delta du coronavirus est de 30 à 100 % plus transmissible que la variante précédemment dominante ». (cité par le Guardian).
Où trouve-t-il ses données et ses estimations ?
Ce que Ferguson omet de mentionner, c’est que les variantes de virus sont toujours « moins vigilantes » et « moins dangereuses » par rapport au virus original.
Les autorités britanniques évoquent néanmoins la possibilité d’un verrouillage de la quatrième vague. Selon le médecin en chef britannique, le professeur Chris Whitty (qui est également membre de la commission SAGE)
Le NHS doit se préparer à un autre hiver difficile, avec la possibilité d’une nouvelle « poussée très importante de Covid« ,
L’avertissement du Prof Whitty est intervenu alors que les experts ont déclaré que le Royaume-Uni était au centre d’une troisième vague du virus, et que le retour des restrictions de confinement ne pouvait être exclu (Independent, 17 juin 2021). Voir le procès-verbal du comité SAGE du 9 juin.
SAGE désigne The Scientific Advisory Group for Emergencies qui conseille le gouvernement britannique sur les politiques liées à la Covid. Un grand nombre des membres de ce prestigieux groupe sont potentiellement en conflit d’intérêt.
Un sous-groupe du SAGE est le Scientific Pandemic Insights Group on Behaviour (SPI-B) : Covid-19. Le sous-groupe SPI impliqué dans la modélisation, ainsi que le rapport de l’Imperial College à SAGE, sont également pertinents.
La déclaration du professeur Whitty est basée sur « une nouvelle étude commandée par le gouvernement ». Le professeur Graham Medley, qui préside le sous-groupe de modélisation SPI-M du groupe SAGE du gouvernement, a évoqué la possibilité que « des restrictions doivent être réintroduites ».
Le professeur Ferguson, qui fait également partie du sous-groupe de modélisation SPI-M, a déclaré que la variante Delta présentait un « risque plus élevé d’hospitalisations », mais a ajouté qu’on ne savait toujours pas dans quelle mesure une troisième vague d’infections pourrait être mortelle. (Indépendant)
Ces annonces sont frivoles. Leur but est de justifier des mesures politiques drastiques (confinement, masque, distanciation sociale, fermeture de l’activité économique, perturbation des services de santé) ainsi que l’accélération du programme de vaccination.
De plus, ces déclarations des responsables sanitaires britanniques (sans parler des résultats de l’ »exercice de modélisation ») concernant la prétendue propagation de « la variante Delta plus infectieuse » sont maintenant utilisées pour justifier la mise en œuvre de politiques de confinement de la « quatrième vague » dans un grand nombre de pays.
L’élaboration de mesures restrictives s’est déroulée en Inde, en Afrique subsaharienne, au Brésil, en Malaisie, entre autres. En Australie, de grandes zones urbaines comme Sydney, Brisbane, Perth et Darwin ont littéralement été fermées.
La « fausse science » concernant le dangereux variant Delta est la force motrice de ces mesures qui créent sans relâche le chaos social et la déstabilisation des économies nationales.
En retour, la variante Delta est utilisée dans le monde entier comme un prétexte pour accélérer la campagne de vaccination par ARNm.
« N’ayez pas peur, Pfizer est là« . Malgré la vague de décès et de blessures liés au « vaccin » à ARNm, la « solution » de Public Health England (PHE) et de ses groupes d’experts distingués du SAGE et de l’Imperial College à ces prétendues « variantes mortelles » est de se faire vacciner. Le vaccin expérimental à ARNm de Pfizer est maintenant annoncé comme « efficace à 88% contre la variante Delta ».
Michel Chossudovsky
Commençons par ce graphique: nous voyons ici une comparaison entre l´Inde (courbe marron) qui utilise l´ivermectine, et l´Angleterre, qui elle, ne l´utilise pas et propose comme seule solution « le vaccin ». Je pense que ces courbes sont très éloquentes et parlent d´elles même. Un commentaire sur la courbe indienne cependant: le pic de « cas » correspond au moment où ce pays à suivi les recommandations de l´OMS et a abandonné l´ivermectine dans certaines régions. De plus, il convient de préciser que les « cas » étant déterminés par les tests PCR bidons qui ne servent pas à diagnostiquer, les chiffres de « cas », souvent bidonnés, sont à prendre avec des pincettes.
En ce sens, le nombre de « cas actifs », je présume qu´il s´agit de cas hospitalisés, semble être un peu plus fiable: sauf que l´on sait, là aussi, que les diagnostiques « covid » que font les médecins ont moins à voir avec la réalité qu´avec les émoluments dérivés d´un tel diagnostique. Néanmoins, ce graphique montre clairement le momentum où l´ivermectine n´est plus utilisée, et ce qui se passe lorsqu´on recommence à l´utiliser, à savoir une diminution évidente des personnes hospitalisées, guéries par la molécule. Évidemment, comme le problème de la fiabilité du diagnostique refait surface, il est difficile d´avoir une juste valorisation d´une telle courbe, mais elle montre néanmoins le pouvoir curateur du médicament sur les malades, quels que soit le diagnostique réel de ces malades. Et ce n´est pas rien !!
Passons maintenant à un autre graphique, celui des morts. Nous pouvons voir ici une courbe similaire aux deux graphiques antérieures, et les mêmes commentaires que j´ai fait sur les précédentes courbes s´appliquent ici aussi: d´une part, on peut clairement voir le moment où l´ivermectine est abandonnée puis sont effet spectaculaire lorsque celle-ci est à nouveau utilisée, obeservez cette chute brutale de la mortalité, et aussi, vu le bidonnage des certificats de décès liés au covid, on peut aussi émettre de sérieuses réserves quand à savoir si ces gens sont réellement morts du covid ou non. Rappelons, à tout effet utile, la définition de l´OMS d´un mort covid: « est considéré un mort covid toute personne qui donne positif à un test PCR jusqu´a 48h après son décès, quelle que soit la cause de sa mort« . Non, ça a le mérite d´être clair, surtout lorsque l´on sait la validité des tests PCR, et les émoluments liés à mettre « covid » comme cause de la mort.
Mais passons. La seule chose importante à tirer de ces graphiques est que l´Inde, qui est l´origine, nous dit-on, du fameux variant Delta qui a écouter certains serait pire qu´ebola, et nous menacerait presque d´éteindre la civilisation, l´Inde, qui a une population de 1,4 milliards d´habitants, ne connait pas une hécatombe, n´enterre pas des macchabées à tour de bras dans des villes submergées de cadavres… Non, non seulement sa courbe de mortalité ne montre pas une proportion épouvantable, alarmante, et hors du commun de morts, ce qui devrait être le cas si ce fameux variant était si dangereux, mortel, et transmissible comme la propagande télévisée veut bien nous le faire croire, mais au vu des deux dernières courbes, il est évident que l´Inde s´en sort très bien face au variant Delta, grâce à l´ivermectine. Les rosbifs, qui ont également le fameux variant sur leur territoire, ne semblent pas non plus remplir de morts les morgues et on ne voit pas la maladie décimer la population dans les rues ou les chaumières de la perfide Albion, qui devrait donc crouler sous les cadavres. On nous dit maintenant que le « vaccin » est la raison pour laquelle la population a été jusqu´ici épargnée, mixture expérimentale que l´on dit à présent efficace à 88% contre le variant Delta, alors que quelques temps auparavant les responsables british nous disaient qu´il faudrait une troisième dose car les « vaccins » en l´état actuel des choses, ne protégeaient pas contre les variants. C´est tout le problème de raconter des salades, à la fin, on s´emmêle les pinceaux et on finit par se contredire. Mais les faits sont les faits. L´inde ne construit pas de crématorium géants, n´a pas envoyé des bulldozers creuser des fosses communes gigantesques pour y ensevelir de toute urgence un holocauste humain. Il faut raison garder et observer les faits. « La vérité vous rendra libre ». Voici, pour finir, le témoignage d´une anglaise vivant en Inde, et qui dit que les informations que l´on peut lire dans la presse occidentale faisant état de gens mourant dans les rues et d´une hécatombe sont tout simplement fausses (attention, vidéo en anglais !!):
6 juillet 2021
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