Mme Shawn fut une des premières victimes connues des injections. Aide Soignante à Oakland, celle-ci se fait inoculer la mixture expérimentale Moderna le 04 Janvier 2021, et les résultats ne se font pas attendre: le « vaccin » attaque son système nerveux, et elle subit des trembleurs incontrôlées dans tout le corps, une dégénération neuro-physiologique plus connue sous le nom de Syndrome de Guillain-Barré. Désespérée, elle cherche de l´aide dans le monde médical, mais les médecins ne peuvent rien pour elle. Mme Shawn a encore la force d´enregistrer un message et de le poster sur Facebook pour avertir le monde et éviter d´autres victimes, mais ses vidéos seront bannies, discréditées, tout lien avec le « vaccin » sera nié et elle sera finalement expulsée du réseau social. Voici la vidéo qu´elle avait posté à l´époque:
Pour voir les vidéos en plein écran, cliquez sur les lien de celles-ci afin de pouvoir les voir directement sur Odysée.
Voici une vidéo récente de Mme Skelton, postée il y a peu, qui nous montre son état actuel, lequel se passe de tout commentaire: la vidéo se suffit à elle même.
24 juin 2021 à 11 h 29 min
Et si on sortait.
SOMMATION
AUX MAIRES
À LA POLICE NATIONALE
À LA GENDARMERIE
AUX SERVICES PUBLICS ADMINISTRATIFS
DE L’ÉTAT
ATTESTATION DE DÉ-CONFINEMENT
(COVID-19)
Messieurs les Maires (Premiers Magistrats dans nos villes, représentant l’État),
Messieurs ou Mesdames les Directeurs(trices) de la Gendarmerie nationale
(chargée de la défense des citoyens sur le territoire national),
Messieurs ou Mesdames les Directeurs(trices) de la Police nationale (chargée de
la défense des citoyens sur le territoire national),
Moi, Monsieur ou Madame………………
Nous, Monsieur et Madame
Déclarons, par la présente ayant pour titre, sommation « Attestation de Déconfinement COVID-19 », informer les différents corps de l’État et service
administratif, relevant de l’État ou assurant une ou des Missions de Services
publics pour le compte de l’État dans l’Intérêt général, de mon (ou nôtre) déconfinement à propos du Coronavirus (COVID-19 SRAS-COV-2), pour les motifs
explicités ci-après (VERSION COURTE ici, sera complétée) :
Sur le plan strictement juridique,
Il ne s’agit pas de savoir quand le décret a été publié par rapport à la loi, il
s’agit des rapports entre la loi et le décret dans la chronologie des actes.
En effet, pour légaliser le confinement il fallait que la loi l’envisage, pour éviter
les débats sur l’illégalité du décret 2020-260 du 16 mars dernier.Or, c’est bien la loi du 23 mars qui a habilité le gouvernement à agir par voie de
décret, notamment pour fixer les mesures de confinement et de réquisition.
Ainsi, le décret du 23 mars entré en vigueur le 24 mars n’est pas un décret
autonome, mais en décret d’application de cette loi.
Le décret a effectivement visé la loi du 23 mars 2020 et notamment son
article 4.
Ceci étant dit , voilà le syllogisme
La loi n° 2020-290 a été votée par le Parlement, elle a été promulguée le 23 mars
et elle a été publiée le 24 mars au JORF.
La loi a donc pris effet conformément aux normes légales le 24 mars 2020.
Ainsi, le décret d’application édité le 23 mars ne pouvait en aucun cas viser une
loi du 23 mars qui n’est entrée en vigueur que le 24 mars !
Le décret aurait dû être pris à partir du 24 mars pour que l’habilitation soit
officialisée par la publication du texte.
En effet la promulgation qui « est l’acte par lequel le chef de l’État atteste
l’existence de la loi… ne prend effet, comme la loi elle-même qu’après avoir été
publié dans les conditions fixées par les lois et les règlements. (CE 8 février 1974).
La promulgation donne certes, la date à un acte législatif, mais c’est la
publication qui produit les effets de droit erga omnes!
En conclusion, le Gouvernement, a été investi seulement à partir du 24 mars
2020 pour prendre certaines mesures, a ainsi violé les principes précités, ayant
édité le 23 mars un décret pris en application d’une loi qui n’était pas encore
applicable le 23 mars 2020, mais seulement à partir du 24 mars date de sa
publication !