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Le système de biocapteurs de Profusa Lumee se compose d’un hydrogel spécial et d’un dispositif émetteur. Ensemble, les deux peuvent détecter et transmettre des données sur les changements subtils dans le corps, y compris, potentiellement, l’infection par des maladies et des virus tels que le coronovirus. PROFUSA
DARPA est l’agence du département américain de la Défense pour le développement de nouvelles technologies à usage militaire. Cette agence s’est associée à la Fondation Bill Gates et à Profusa, une société de la Silicon Valley, pour développer un biosenseur utilisant un produit de nanotechnologie appelé hydrogel. L’hydrogel peut être injecté et implanté sous la peau au moyen d´une injection, présentée à la population comme un vaccin destiné à lutter contre l’une de ces fausses pandémies provoquées.
Le système de biocapteurs de Profusa Lumee se compose de l’hydrogel et d’un dispositif émetteur et, ensemble, ils peuvent détecter et transmettre des données sur les changements subtils dans le corps, soi-disant aussi les infections par des maladies et des virus tels que le coronavirus.
Présenté comme une percée médicale où les patients seront en mesure de suivre de près les changements dans leur santé, on pourrait soi-disant connaître les niveaux d’oxygène, les niveaux de glucose, les niveaux d’hormones, la fréquence cardiaque, la fréquence respiratoire, la température corporelle. En outre, il peut avoir la capacité non déclarée de connaître le cycle menstruel, l’activité sexuelle, les émotions, et peut transmettre toutes ces informations à une base de données contrôlée par l’intelligence artificielle.
La société de biotechnologie Profusa a annoncé dans une étude financée par le DARPA que la grippe peut également être détectée jusqu’à trois semaines plus tôt. Ainsi commence un nouveau narratif pour justifier l’utilisation massive de cette nanotechnologie pour éradiquer les pandémies ou prévenir les attaques biologiques à l’avenir.
Un biosenseur hydrogel implantable pourrait être utilisé dans le vaccin contre le COVID-19.

Plus petits qu’un grain de riz, les biocapteurs implantables de Profusa peuvent mesurer continuellement la chimie corporelle comme l’oxygène et le glucose, et sont conçus pour surmonter la « réponse au corps étranger » qui entraîne une inflammation ou un rejet local.
Ce biosenseur de taille inférieur à celle d’un grain de riz serait effectivement fusionné avec le corps comme un morceau de nanotechnologie et se connecterai à un réseau Internet sans fil alimenté par la 5G ou à l’Internet des objets (IOT), et pourrai transmettre des informations sur notre corps mais aussi recevoir des informations. Cela a déjà été annoncé dans un article de Défense un en Mars 2020, où il était dit que le biosenseur était sur la bonne voie pour obtenir l’approbation de la FDA.
Les biocapteurs fonctionnent entièrement intégrés dans le tissu du corps sans aucun dispositif métallique ou électronique permettant ainsi empêcher le corps de les rejeter, ou même d´essayer. Jusqu’à présent, les biocapteurs injectés ont put fonctionner pendant quatre ans, et comme nous l’avons déjà dit, il est plus petit qu’un grain de riz : chaque biocapteur est une fibre flexible d’environ cinq millimètres de long et demi millimètre de large composée d’une surface poreuse induisant l’entrée capillaire et cellulaire du tissu environnant. L’hydrogel est lié à l’émission de lumière molécules fluorescentes qui envoient continuellement un signal en fonction de la concentration de substances chimiques corporelles telles que l’oxygène, le glucose ou d’autres biomolécules d’intérêt.
Le biosenseur est fait de deux parties distinctes. L’une d´elle est une corde hydrogel de 3 mm, un matériau dont le réseau de chaînes en polymère est utilisé dans certaines lentilles de contact et autres implants. Inséré sous la peau avec une seringue, le fil comprend une molécule spécialement conçue qui change de couleur lorsque le corps commence à combattre une infection. L’autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de la lumière à travers la peau, détecte si le changement de couleur se produit et génère un signal qui peut être envoyé à une base de données distante à laquelle il a été configuré.
Dans sa vidéo de démonstration Profusa explique comment les capteurs corporels injectables peuvent envoyer ces données sur votre chimie corporelle, à un téléphone cellulaire. Ils perfectionnent également l’art d’amener le corps humain à accepter des matériaux et des objets synthétiques sans qu’ils soient reconnus comme quelque chose d’étranger.
Savoir que l´armée américaine à financé un capteur injectable subdermique (DARPA est la branche de recherche scientifique du ministère de la Défense) n’est pas une nouvelle qui nous laisse tranquilles surtout lorsqu´on met cet info en parallèle avec la surveillance de masse actuelle et le totalitarisme croissant à travers le monde …
Voici comment cela fonctionne
La plate-forme d’oxygène Lumee de Profusa surveille les niveaux d’oxygène dans les tissus à l’aide d’un capteur sous-dermique. Il est ensuite combiné avec une sonde de données attachées à la peau sur le capteur, qui transmet ces informations à un smartphone ou d’autres appareils.
Les fluctuations du niveau d’oxygène dans les tissus pourraient indiquer qu’une personne tombe malade avant qu’elle ne s’en rende compte. L’objectif de l’étude est de mettre au point un système algorithmique de détection précoce qui peut traduire les changements biologiques dans le cadre de la médecine préventive.
« La plate-forme d’oxygène Lumee peut potentiellement fonctionner comme une sorte de canari dans une mine de charbon pour les maladies infectieuses, que les changements subtils dans l’oxygène au niveau des tissus peuvent indiquer des problèmes et peut aider les médecins à corriger rapidement le cours pour éviter les flambées » a déclaré Ben Hwang dans un communiqué de la société.
Ben Hwang, président et CEO de Profusa
Profusa mène l’étude en partenariat avec l’institut de recherche RTI International, Duke University et L´Imperial College London. Elle est également financée par un prix de recherche DARPA et espère publier les résultats au début de 2021. En plus de surveiller les niveaux d’oxygène avec le système Lumee, ils disent aussi que le biosenseur pourrait utiliser les niveaux de fréquence cardiaque ou d’autres marqueurs pour la construction de l’algorithme.
L´Hydrogel dans les vaccins
« Hydrogels injectables capables d´administration conjointe continue de sous-unités vaccinales destinées à améliorer l’immunité humorale »https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acscentsci.0c00732 par Gillie A. Roth, Emily C. Gale, Marcela Alcantara-Hernandez, Wei Luo, Eneko Axpe, Rohit Verma, Qian Yin, Anthony C. Yu, Hector Lopez Hernandez, Caitlin L. Maikawa, Anton AA Smith, Mark M. Davis, Bali Pulendran, Juliana Idoyaga et Eric A. Appel, 16 septembre 2020, ACS Central Science.
DOI: 10.1021 / acscentsci.0c00732
Maintenant, les chercheurs qui informent habituellement chez ACS Central Science ont développé un hydrogel injectable qui est censé permettre la libération continue des composants du vaccin, augmentant la puissance et la durée des réponses immunitaires chez les souris.
Pour conférer une résistance aux maladies infectieuses, les vaccins présentent des fragments d’un agent pathogène, connu sous le nom d’antigènes, aux cellules du système immunitaire, qui développent des anticorps contre ces molécules. Si une personne vaccinée est infectée ultérieurement par le même agent pathogène, son système immunitaire pourra théoriquement le reconnaître et rapidement déployer des anticorps pour détruire l’envahisseur. Les vaccins contiennent généralement un composant supplémentaire, appelé adjuvant, qui aide à stimuler le système immunitaire. Eric Appel et ses collègues se demandaient s’ils pouvaient développer un hydrogel injectable qui libérerait lentement les composants du vaccin sur une plus longue période de temps, plus semblable à ce à quoi le corps est habitué, ce qui pourrait stimuler une amélioration de la réponse immunitaire.
Les chercheurs ont mis au point un hydrogel de nanoparticules de polymère qui pourrait être mélangé avec des composants du vaccin. Lorsqu’il a été injecté sous la peau des souris, le matériau a formé une zone localisée d’inflammation qui a attiré certains types de cellules immunitaires, tout en libérant lentement l’antigène et l’adjuvant sur une période de plusieurs jours. Le nouveau système doit encore être testé pour voir s’il améliore la protection du vaccin contre des maladies spécifiques.
Les auteurs reconnaissent le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates; du Stanford Medical School; et de la bourse de recherche pour les diplômés de la National Science Foundation.
BONUS TRACK: Pour les anglo-parlants, j´ajoute cette interview de la Dr Christiane Northup, réalisée par la directrice du docmentaire « Vaxxed », où elle discute spécifiquement des « vaccins » anti-covid et des nanoparticules et nanorobots que celles-ci contiennent (ainsi que du brevet qui leur est relatif détenu par Microsoft), la Luciférase, etc, et la mise en esclavage de l´Humanité au moyen de ces technologies, pour ceux qui survivront l´inoculation de ce poison. Je n´ai pas trouvé de traduction en Français, je vous prie de m´en excuser.
Pour en savoir plus:
Un système d’avertissement précoce capable de détecter des infections est actuellement en cours d´étudehttps://www.mddionline.com/implants/early-warning-system-detecting-infections-being-studied
https://www.popularmechanics.com/military/research/a23457329/augmented-super-soldiers-reversible/
Interface neuronale directe – DARPA – Dr Justin Sanchez https://www.youtube.com/watch?v=nvUHDK59Igw
L’échafaudage d’hydrogel chargé d’interleukin-4 régule la polarisation de macrophages destinés à promouvoir la différentiation osstéogénique des cellules souches mésenchymales au moyen de TGF-β1/Smad pour la réparation de malformations osseuses. Zhang J, Shi H, Zhang N, Hu L, Jing W, Pan J.Zhang J et coll. Cell Prolif. 2020 Oct;53(10):e12907. doi: 10.1111/cpr.12907. Epub 2020 Sep 19.Cell Prolif. 2020.PMID: article 32951298 Free PMC.
Les antagonistes opioïdes sont des thérapies potentielles pour les accidents vasculaires cérébraux ischémiques. Peyravian N, Dikici E, Deo S, Toborek M, Daunert S.Peyravian N, et coll. Prog Neurobiol. 2019 Nov;182:101679. doi: 10.1016/j.pneurobio.2019.101679. Epub 2019 Aug 6.Prog Neurobiol. 2019.PMID: article 31398359 Free PMC. Examen.
Les nanogels stimulo-réactifs polymèriques comme systèmes intelligents d´administration de médicaments. Hajebi S, Rabiee N, Bagherzadeh M, Ahmadi S, Rabiee M, Roghani-Mamaqani H, Tahriri M, Tayebi L, Hamblin MR. Hajebi S, et coll. Acta Biomater. 2019 Jul 1;92:1-18. doi: 10.1016/j.actbio.2019.12.2008. Epub 2019 13 mai.Acta Biomater. 2019.PMID: 31096042 Article gratuit PMC. Examen.
Préparation et évaluation des propriétés de l’hydrogel conducteur à l’aide de poly (alcool de vinyle)/ polyéthylène Glycol / Oxide de graphène pour acquisition d’électrocardiogramme humain. Xiao X, Wu G, Zhou H, Qian K, Hu J.Xiao X et coll. Polymères (Bâle). 2017 Juin 30;9(7):259. doi: 10.3390/polym9070259. Polymères (Bâle). 2017.PMID: 30970936 Article gratuit PMC.
Des points de quantum quasi infrarouges biocompatibles tatoués sur la peau par des patchs de micro-aiguillespermettent de certifier la vaccination https://stm.sciencemag.org/content/11/523/eaay7162
Progrès récents sur les hydrogels sensibles aux champs magnétiques dans l’ingénierie des tissus https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7068712/
Des transformateurs intelligents contrôlés par magnétisme à base d’hydrogel https://phys.org/news/2020-12-magnetically-hydrogel-based-smart.html
25 mai 2021
Dictature Sanitaire, MagnetGate, News, Nouvel Ordre Mondial, Plandémie, Vaccins