Beaucoup rient quand je parle de capteurs implantés dans notre corps qui permettront de nous contrôler à un niveau jamais vu auparavant: alors que le potentiel de ces nouvelles technologies peut être utilisé pour de bonnes choses, je n’en doute pas, la vérité est que l’insertion de puces, nanorobots, ou toute sortes de senseurs ou capteurs est la porte ouverte à toutes les dérives. Nous arrivons à un moment où votre médecin, en voyage à Honk Kong, peut recevoir sur son téléphone portable toutes les informations, en temps réel, sur votre rythme cardiaque, votre taux d’oxygène dans le sang, si votre sucre ou votre cholestérol augmente… Tout cela est très bien, car dans certains cas, un suivi constant est nécessaire. Cependant, ces données peuvent passer entre les mains de tierses personnes, être vendues à des entreprises, et au-delà de la vie privée, il est clair que ce que le Nouvel Ordre Mondial cherche, c’est le contrôle absolu de la personne. Le fait est que le plan comprend, en fin de compte, que nous portions tous une puce implantée dans le corps, comme c’est déjà le cas avec nos chiens et nos chats. Non seulement elles contiendront toutes nos données, comme les données médicales, juridiques, bancaires, administratives, etc., mais ce que l’on cherche à faire, c’est de pouvoir contrôler l’esprit des gens et, éventuellement, de les tuer en appuyant sur un bouton si celles-ci sont très gênantes. Dans un monde où l’on ne peut « ni acheter ni vendre » sans la Marque de la Bête la puce, il suffit de débrancher celle-ci pour empêcher la personne d’accéder à des lieux, l’empêcher d’acheter de la nourriture, l’empêcher de quitter son domicile (mais elle est tracée et une alerte est envoyée à la police qui géolocalise la personne en quelques secondes, l’arrêtant éventuellement, ou la retournant chez elle…) et ainsi la condamne à mourir de faim, seule, chez elle. Et si quelqu’un l´aide, vous débranchez aussi sa puce. D’autres informations indiquent également que les puces pourraient être conçues pour provoquer des crises cardiaques… C’est pourquoi, en lisant l’article que je vous pose ci-dessous, je ne vois pas la technologie proposée ici comme une merveilleuse avancée scientifique qui pourrait créer un monde meilleur, et une meilleure santé, mais je la vois comme un pas de plus vers la dictature sanitaire et le contrôle total de la personne par implants. Je publierai ici, plusieurs articles en ce sens, montrant des progrès technologiques destinés précisément à nous contrôler mentalement… à violer l’intimité de nos pensées… un degré de vigilance dont Ni Orwell n’a jamais rêvé.
Des chercheurs néerlandais ont réussi à placer une couche de graphène sur une couche individuelle de lipides gras, et elle reste stable. L’objectif est de faire un sandwich, en plaçant le graphène entre deux couches de lipides, afin qu’il puisse se déplacer librement dans un corps vivant, et fonctionner comme un capteur des signaux électriques de l’environnement biologique, mesurant l’acidité ou la présence de protéines. Le graphène est un très bon conducteur électrique.
Pour la première fois, des chercheurs de l’Université de Leiden aux Pays-Bas ont réussi à placer une couche de graphène sur le dessus d’une monocouche de lipides gras stable. Entouré d’une couche protectrice de lipides, le graphène pourrait pénétrer dans le corps humain et fonctionner comme un capteur polyvalent. Les résultats sont la première étape vers un tel senseur, et ont été publiés dans la revue Nanoscale.
Contrairement aux travaux antérieurs, les chercheurs ont observé une structure stable lorsqu’ils ont placé du graphène sur une seule couche de lipides. Ils ont déposé un brevet avec ces résultats. La doctorante Lia Lima et ses collègues ont fait cette découverte sous la supervision du chimiste Grégory Schneider.
Le graphène est un matériau bidimensionnel composé d’une seule couche d’atomes de carbone. Il est extrêmement mince, fort et flexible. En outre, le graphène s’intéresse au monde technologique pour sa bonne conduite de l’électricité. Les applications du graphène varient considérablement. « Le graphène est particulièrement sensible et peut répondre à l´environnement biologique du corps humain », explique Schneider. Les applications futures pour le corps humain sont donc, par exemple, des biocapteurs et des systèmes qui trouvent le bon endroit pour effectuer un diagnostic. »
Pour adapter le graphène à ces applications, des matériaux inorganiques durs sont souvent utilisés comme support. Cependant, ces matériaux durs ne sont pas idéaux pour une utilisation dans le corps vivant. C’est pourquoi les scientifiques sont à la recherche de molécules organiques douces qui se lient au graphène, en l’occurrence les lipides.
Les lipides sont des graisses que l’on trouve dans la couche protectrice d’une cellule – la membrane cellulaire. Cette membrane est composée d’une double couche de lipides. Lorsque le graphène peut être placé entre ces deux couches, il peut voyager librement à travers le corps. « Une méthode déjà utilisée avec des médicaments contre le cancer », explique Schneider dans le communiqué de presse de l’université. « Nous avons fait une couche de lipides individuelle en laboratoire et transféré du graphène sur le dessus. C’est un premier pas vers l’imitation de la membrane cellulaire. »
Membrane plasmique
Les lipides sont des graisses que l’on trouve dans la couche protectrice d’une cellule – la membrane cellulaire. Cette membrane est composée d’une double couche de lipides. Lorsque le graphène peut être placé entre ces deux couches, il peut voyager librement à travers le corps.
Dans leurs recherches, les scientifiques ont découvert qu’une couche de lipides fournit un bon soutien pour le graphène. Les chercheurs ont utilisé des mesures infrarouges pour tester la stabilité de la couche, et ont également constaté que les lipides amélioraient la conduction électrique du graphène.
Cet effet lipide est prometteur pour les applications futures : les améliorations apportées à la conduite électrique permettront de mesurer les signaux électriques du graphène dans le corps, ce qui lui permettra de décrire l’environnement dans lequel il se déplace – des données telles que l’acidité ou la présence de certaines protéines par exemple.
Le graphène finira par pouvoir voyager à travers le corps. « Cependant, nous avons encore un long chemin à parcourir », dit Schneider.
Référence bibliographique et source:
Lia M.C. Lima, Wangyang Fu, Lin Jiang, Alexander Kros, Grégory F. Schneider : hétérostructures monolayer lipidiques stabilisées au graphène : une nouvelle superstructure biomembrane. Nanoscale (2016). DOI: 10.1039/c6nr05706c.
22 mai 2021
News, Nouvel Ordre Mondial, Plandémie